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PROFIL RAPIDE / QUICK PROFIL

Orion

The Lightbringers

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8,4

Releases information

Release date: 

From: 

Alain Massard - January 2025

August 16, 2024

Royaume-Uni / UK

ORION c’est l’œuvre de Ben JONES, multi-instrumentiste sortant la musique de son âme. Son 2e album avec des textes sur les luttes de la société, religion d’une part et l’espoir avec la fresque musicale débordant d’énergie. Un fan de RUSH aimera mais c’est avant tout du rock progressif avec une guitare chaleureuse et une voix typée; de l’émotion.

« The Tumult of My Heart » riff, RUSH vient tout de suite en tête; la voix monte, non linéaire, un plus; le pad dynamique, la basse métronomique; un son moderne, progressiste de par sa latence et le refrain fluide. « The Ghosts Among Us » mélodie vibrante sur un pas de porte, celle qui t’accroche immédiatement; un crescendo prog métal sec, brillant, harmonique avec la latence progressiste; le riff est posé, amenant le climat intimiste. « This Sickness » plus pêchu, comprendre nerveux; basse et pad criant sur notre société droguée, du hard rock sans concession avec un zeste bluesy et un autre lancinant, sombre, délicieusement dérangeant. « As Best We Can » retour de l’intro latente, acoustique guitare, mélodie en devenir, ballade cristalline surfant sur une mélancolie à peine cachée avec la voix suppliante et le crescendo au chœur envahissant; du rock AOR, alternatif se démarquant des sonorités rushiennes de départ. Le final orchestral aux instruments fusionnant chœurs éthérés pour un message d’espoir musical.

« The Cycle of Light: Part I - Spark » entame avec douceur atmosphérique digne d’un 2001 de l’odyssée, explosant d’un air rushien progressiste, tiré par ce riff ciselé et cette batterie aérienne. Le final mitraillette flirtant avec le clavier velouté et métallique. « Part II - The Scattering Stars » enchaîne, arpège piano sur un cor austère; l’air s’enflamme, rayonnant, le vocal rappelant Neal MORSE pour l’hymne progressiste émotif; la basse imprime le chemin laborieux pour monter; break symphonique et « Part III - The Falling Heavens » suit, retour au prog métal lourd, envoûtant avec la voix typée. Un titre radio edit qui coincé dans cette longue suite de 27 minutes donne du peps heavy rock- bluesy gras. « Part IV - The Lightbringers » pour le bouquet, le creuset mélodique entre vocal chaleureux, rythmique grandiose et orchestration symphonique imposante; le break revient à l’atmosphère rushienne faite de vibrations guitare, de pads endiablés et de la voix envoûtante, rappelant SPOCK’S BEARD. La montée finale, céleste, avec chœurs et mélodie rayonnante, immense.

ORION sort un opus mélangeant adroitement le vocal d’avec l’instrumentation; un album au feeling émotif, surfant entre prog métal, rock AOR, avec un vocal chaleureux. Un album qui vaut plus qu’une rapide si j’étais tombé dessus en août, un album faisant penser au défunt RUSH mais bien plus encore avec ses sonorités grandiloquentes, olympiennes, musicales, divines. Un son qui donne espoir rien qu’à l’écoute.

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