top of page

CHRONIQUE / REVIEW

Giant Sky

Giant Sky II

AGHORA.jpg

Releases information

Release date:

December 1, 2023

Format:

CD, Digital, Vinyl

Label:

From:

Imaginary Friend Records

Norvège / Norway

Alain Massard - December 2023

9,0

Facebook_logo-7.png

TRANSLATED REVIEW (GOOGLE TRANSLATE) BELOW FRENCH TEXT !

GIANT SKY créé en 2020 par Erlend, fondateur de SOUP qui s’essaye à un monde musical intimiste; son projet atmosphérique entre de plein pied dans une vision art-rock comme au temps d’antan; du rock prog, de l’alternatif, du crossover, de l’expérimental, du post-rock onirique et jubilatoire; sur du SIGUR ROS, du TAME IMPALA, du ENO, du M-83; du GIANT SKY qui envoie loin de notre monde sinistré; un rock cinématographique du XXIe siècle qui raconte la Vie aidé par l’orchestre symphonique de Trondheim. 2e double album.

CD1: « Origin Of The Species (Part 1-6) » entame spatiale symphonique solennelle lançant « Imposter » avec leur son caractéristique, froid, émouvant, bucolique; tiens un orgue avec Marina l’une des 3 voix féminines; explosion post-rock d’un coup avec cris tonitruants rappelant SIGUR ROS, pour ceux qui ne connaissent que SOUP; ambiance aérienne pour un solo énivrant et psychédélique typé. « Speak Through Walls » avec Hanne et Charlotte aux voix sur un arpège guitare minimaliste; flûte des anciens temps oui sur l’Archange; une déclinaison orchestrale symphonique mélancolique… de toute beauté avec violons larmoyants avant le break psyché de la décennie 2030, guitare vibrante cinématique affolante; Erlend y crie, dark pour un final dantesque. « Space Farrier » arpège sur la création, rien de moins; flûte, piano d’Ivan et Jonas, synthés sur un Jean-Michel JARRE; bon on va chausser ses bottes bien ferrées pour divaguer dans le cosmos, interlude comme seul sait le faire Erlend, frais et beau au final qui envoie « The Present » pour se poser de cette escapade grandiose; encore planant et une voix-off au loin. « To The Pensieve » piano et voix monolithique pour le titre à priori basique; oui mais quelques instants plus tard l’on se retrouve sur les anneaux d’une planète à tourner à toute vitesse, c’est ça GIANT SKY beau, sidérant, musicalement progressiste au firmament. « Dispatch of Species » s’incruste pour le final avec un orgue d’église.

CD2: « Curbing Lights » intro du second album sur un fond cinématique, jeux vidéo, assez rythmé, toujours électronique, moins intimiste, comme une ouverture pour « I Am The Night » fac-similé de ‘Space Farrier’ au départ; le plus cette fluidité musicale sur ces voix féminines angéliques, sirènes d’un autre temps; et puis il y a une montée, une de plus mais sur un autre versant et le Nirvana est là devant vous; cette explosion musicale crescendique vous fait fondre; le break avec basse métronomique ramène sur terre avant qu’une envolée de violons olympiens ne vous fasse frissonner, des cloches, des vagues déstructurées qui forment un titre majeur avec des voix inversées. « Birds With Borders » pour une mélodie mélancolique intimiste, celle que l’on veut garder pour soi; des cordes, une flûte et la montée schizoïde faite de bruits qui s’entrechoquent et créent la mélodie, les voix en avant guidées par les notes; la flûte te guide à ton cervelet gauche celui qui pense que cet album est déjà exceptionnel. « Tables Turn » avec Hans comme unique voix masculine sur un mid-tempo onirique enjoué; le break mi-parcours électro-ambiant et latent sur un PINK FLOYD psychédélique, Erlend avec sa voix qui se confond d’avec celle de Jón des SIGUR ROS, la perfection est là; l’outro ultra-basse vibrante. « King In Yellow » avec ce son de Megaptera et autres divinités qui sauveront notre planète, allez réviser du côté de Star Trek; morceau instrumental torturant votre esprit, oui GIANT SKY est au-delà de la musique. « Seeds » comme final wallien, après le crash contre le mur; une ballade spatiale, cinématique, sur un New York 1997 apocalyptique d’où le monde ne se relèvera pas, sur un monde nouveau ayant compris de quelle côté se trouver pour ne pas tomber de la branche, choisissez.

GIANT SKY art-rock devant l’éternel sort un son allant plus loin que l’univers; de l’électronique, ambiant, cinématique, BOF, des réminiscences de musique électronique, new-wave, post-rock et grunge pour ce côté rock sale, du folk spatial scandinave quand il neige abondamment; j’ai lu MOGWAI et ‘Blade Runner’ comme références, c’est bien différent; SIGUR ROS oui, MOTORPSYCHO période vintage psyché oui; qui bouleverse les codes et remet l’association mélancolie-dynamisme à l’honneur; un temps pour tout, aimer, haïr, faire la guerre, faire la Paix, GIANT SKY peut vous y aider.

PISTES / TRACKS

    CD1:
    1. Origin Of The Species (Part 1-6) (2:19)
    2. Imposter (4:23)
    3. Speak Through Walls (7:21)
    4. Space Farrier (6:08)
    5. The Present (3:38)
    6. To The Pensieve (5:53)
    7. Dispatch of Species (2:58)

    CD2:
    8. Curbing Lights (2:00)
    9. I Am The Night (10:21)
    10. Birds With Borders (7:04)
    11. Tables Turn (6:18)
    12. King In Yellow (3:53)
    13. Seeds (6:48)

    Total : 68’55’’

Erlend Aastad Viken (Soup) : Vocals, guitars, acoustic guitars, drums (3, 6, 12), synthesizers, banjo, pianos, percussion, effects and everything else
With:
Ivan Ushakov : Flutes
Jonas Viken : Strings
Vegard Bjerkan : Church organs, synth arpeggio (4 intro)
Charlotte Stav : Vocals (3, 9 outro, 10, 11)
Hanne Mjøen : Vocals (3)
Marina Skanche : Vocals (1, 2, 6, 9, 13), Guitars (2, 3), Erhu (10)
Andreas Kjøl Berg : Drums (2, 3, 4, 8, 9, 10)
Hans Magnus Ryan : Guitars (2, 9, 12)
Eckhart Tolle : Voice (5)
Liv Brox : Strings (9 outro)
Myrtoula Røe : Vocals (9 outro),
Hans Magnus Ryan : Vocals (9, 11)
Oskar Holldorff : Vocals (10)
Espen Berge (Soup) : Drums (11, 12, 13)
Rhys Marsh : Lapsteel (13)
Erlend Solli Aune : Bass and piano (10 outtro)

musiciens / musicians

FOLLOW US

  • YouTube Social  Icon
  • Facebook Classic

CONTACT US

CRÉÉ ET MAINTENU PAR PROFIL 1994 to 2024

bottom of page