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CHRONIQUE / REVIEW

XCIII

The Void

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Releases information

Release date:

January 14, 2022

Format:

CD, Digital

Label:

From:

Anesthetize Productions

France

Philippe André - January 2022

7,5

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TRANSLATED REVIEW (GOOGLE TRANSLATE) BELOW FRENCH TEXT !

Commençons l'année 2022 par un projet français XCIII présenté comme une formation Avantgarde Rock/Métal, ce qui n'est absolument pas ma tasse de thé habituelle. L'idée de base est de mélanger toutes sortes de musique allant du Black Métal au Trip Hop, rien de moins ! Ambitieux ? A voir...Je dirais plutôt de l'Art Rock.

L'origine de XCIII remonte à l'année 2009 sous la bienveillance de Guillaume BERINGER avec le concours de nombreux musiciens de studios. Première démo en 2010, l'idée de base, créer une musique sur le romantisme au dix-neuvième siècle en Allemagne, en Angleterre et en France. Premier album " Like a Fiend in a Cloud " début 2013 sur un label allemand dédié au Black Métal et retour vers la France au terne de la même année avec un nouveau EP mi 2014 enregistré et mixé aux studios Forlorn Hope à Lyon par le groupe lui-même. Un an plus tard et au même endroit, le second album "Enlighten" y est enregistré pour une parution en juin 2016. Troisième EP "Theanomie' en 2017, pour les spécialistes (dont je ne suis point) la théanomie est une forme hypothétique de gouvernement chrétien dans laquelle la société est régie par la loi divine.

Troisième album "Transcience" en septembre 2018 (le titre rappelle les américains de LAND'S END) qui intègre des morceaux plus popisants à la manière de THE PINEAPPLE THIEF, ce qui ne sera pas innocent puisque l'album de 2022 est masterisé par Steve Kitch le claviériste du groupe britannique, l'alter ego depuis 2005 du plus connu et plus médiatique Bruce SOORD (entre temps il y aura eu un EP supplémentaire "The Blue" fin 2019 pour célébrer les dix ans du projet).

Alors et "The Void" murmure une frêle voix lointaine ? Le milieu musical c'est la dark wave, comme certaines formations du milieu de années quatre-vingt (DEAD CAN DANCE ou THE GATHERING me viennent à l'esprit), une musique très cinématiques, une bande son pour un film d'anticipation sombre, l'impression générale de prendre le métropolitain de nuit sans que celui-ci ne s'arrête aux stations ou comme il est prononcé par Maelise Vallez dans l'emblématique "Red Lights" je la cite "No Endless River", une rivière sans fin = un voyage sans fin ?

Quoiqu'il en soit un opus intéressant qui sort des sentiers battus, certainement le but recherché par Guillaume Beringer.

PISTES / TRACKS

    1) IR (2:31)
    2) Red Lights (5:12)
    3) Hannah (7:11)
    4) At Last One (4:18)
    5) Re (2:31)
    6) Rosemary (4:18)
    7) Lunchbox (5:59)
    8) Tapeworm (7:26)
    9) VS (2:29)

Maelise Vallez: Additional vocals on tracks 2/3/5/7
Guillaume Beringer: All Instruments, Vocals
Mathieu Devigne: Additional piano on track 6
Giulia Filippe: Additional vocals on track 6
Neemias Teixeira: Additional piano on track 2
Oisava: Additional violin on track 9

musiciens / musicians

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