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CHRONIQUE / REVIEW

The Arc Light Sessions

The Poetry in Contemplation

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Releases information

Release date:

May 3, 2021

Format:

Digital

Label:

From:

Independent

Canada

Mario Champagne - July 2021

6,4

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TRANSLATED REVIEW (GOOGLE TRANSLATE) BELOW FRENCH TEXT !

The Arc Light Sessions est une idée originale du claviériste et compositeur John ALARCON, qui cumule plus de 40 ans de carrière. Caractéristique particulière, ce type est une machine ! Il génère les albums à la vitesse de la lumière. Quatre albums en 2020, et déjà un deuxième en 2021. Un album par trimestre, faut le faire ! Ce dernier, « The Poetry in Contemplation » est sa neuvième production depuis 2015 dans un style tout ce qu’il y de plus rock progressif symphonique, donc offrant un mélange d'éléments de classique, de rock et de folk. Quant à ALARCON, il semble bien évident qu’il est tombé très jeune dans la marmite du vieux GENESIS, tellement la musique de cet album est imbibée de cette référence, à un point tel qu’il est difficile de la dissocier de l’originale.

Il est évident que les fans de vieux GENESIS, de vieux HACKETT et d’Anthony PHILLIPS, apprécieront ces huit titres bien ficelés du point de vue musical, dont deux sont des pièces instrumentales. ALARCON maîtrise tous les codes symphoniques typiques d’une musique britannique des années 70 qui se veut pastorale et bucolique, où l’on retrouve Mellotron, orgue, clavecin, flûte, hautbois, violoncelle et autres instruments typiquement classique.

De l’instrumentale « De l'espace », plutôt réussie, avec son intéressant aspect classique très prononcé qui évolue autour d’une trame mélodique légère, en passant par « Ashes » et par « As I am » qui sont superbes musicalement et totalement génésiennes, on se régale des enchevêtrements de tous ces instruments à vents et à cordes, et des nappes de claviers, des coupures de rythme, des silences et des reprises sur d’autres airs. Et comme sur la plupart des autres titres, il y règne cette nostalgie d’une vieille musicalité surannée des grands maîtres du début du Prog.

Certains entendront peut-être quelques autres références instrumentales ailleurs, dont peut être Billy JOEL dans l’intro style piano bar de « Maybe », ou SUPERTRAMP dans les claviers légèrement jazzy de « Beyond the Pale ». Quant à mon titre préféré, le plus long « In Good Conscience Was I », on y notera aussi des ressemblances avec le style de KANSAS grâce à l’apport des cordes des instruments de Michel RADISSON.

Cependant, un bémol qui risque peut-être de déplaire à plusieurs et ce fut mon cas. La voix est particulière, comme étouffée et monocorde, et on en ressent parfois les limites. Pourtant, la plupart de ces petits bijoux musicaux développés par ALARCON représentent des écrins idéaux pour une voix à la Nad SYLVAN qui aurait probablement mieux mis en valeur ceux-ci. Et, une opinion personnelle, la production aurait pu mieux équilibrer la présence de certains instruments, car souvent la partie vocale semble écraser ce qui est en arrière-plan. Bon, malgré tout, cette œuvre s’écoute quand même assez bien, car les compositions sont complexes mais agréables et fluides, et il y a de quoi passer un bon moment en sa compagnie. Bonne écoute !

    1. De l'espace (3:52)
    2. Ashes (7:21)
    3. Maybe (4:39)
    4. Pleasure and Pain (4:49)
    5. Beyond the Pale (3:44)
    6. As I Am (5:37)
    7. Unified (5:21)
    8. In Good Conscience Was I (8:36)

PISTES / TRACKS

musiciens / musicians

John ALARCON - Piano, Synthesizers, Organ, Mellotron & Lead Vocals
Hugo EMARD - Bass
Steve VALMONT - Drums
Luc TREMBLAY- Flute & Oboe
Patrick SIMPSON -Guitars
Michel RADISSON – Cello & Contrabass

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