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CHRONIQUE / REVIEW

Hollow

Tower

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Releases information

Release date:

November 26, 2021

Format:

CD, Vinyl, Digital

Label:

From:

Rockshots Records

Suède / Sweden

Sébastien Rancourt - Décember 2021

7,0

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TRANSLATED REVIEW (GOOGLE TRANSLATE) BELOW FRENCH TEXT !

Projet du talentueux multi-instrumentiste Andres STOLTZ, ‘’Hollow’’ était revenu en force en 2018 après une pause qui s’était étalée sur près de vingt ans. Heureusement, l’attente aura été beaucoup moins longue cette fois-ci avec la parution de « Tower » seulement trois années plus tard.

L’ascension s’amorce avec « Birth ». Une pièce au départ acoustique qui prend peu à peu une tournure rock. Un titre intéressant mais sans plus. Les deux morceaux suivants sont, cependant, beaucoup plus inspirés. Si l’éponyme « The Tower » se veut plus énergique et parsemé de bons riffs de guitare, « Guardian » est beaucoup plus pesant. On ne peut s’empêcher de hocher la tête en écoutant cette composition qui en plus est fourbée de magnifiques harmonies vocales.

« Destroyer of Worlds » est un morceau purement métal. Alliant passages incisifs et rythmes soutenus, il s’agit de l’un des moments forts de cette parution. Son refrain entraînant nous donne envie de l’entonner en compagnie de STOLTZ, une très belle réussite. Le compositeur nous offre malheureusement assez souvent la même recette, avec quelques épices différentes comme « Every Drop of My Blood » qui se veut aussi puissante que la pièce qui la précède mais avec une approche légèrement différente. Agrémenté d’un chant plus lent et plus haut perché ainsi qu’un jeu de guitare plus technique, ces éléments arrivent à rendre l’ensemble agréable à l’écoute.

Des pièces comme « The Waiting is Over », « Sunrise » ou bien « Nation of Man » ne sont pas mauvaises mais demeurent des moments moins mémorables durant l’écoute, un réchauffé de ce qu’on a déjà entendu, en un peu moins bon. Cependant, j’ai trouvé « A Home Forgotten » beaucoup plus accomplie en comparaison. La montée en puissance qui mène à l’excellent refrain est même arrivée à me donner la chair de poule. Quand on parle de morceau réussi, celui-ci en est un très bon exemple. Le titre qui clôt l’album s’avère, lui aussi, plutôt bien construit. Encore une fois, c’est le jeu de guitare qui domine tout, même le chant, oserais-je dire. Agrémentée de passage acoustique, la composition met un terme à l’offrande de la même manière que celle-ci s’était amorcée. Une douce manière de mettre fin à cette ascension que se veut ce « Tower ».

Cet album passe en coup de vent. Il faut aussi dire qu’avec ses trente-six minutes, on peut pratiquement le faire tourner deux fois dans l’heure mais le fait d’avoir l’impression d’entendre plus souvent qu’autrement une copie de la pièce précédente ne donne pas vraiment envie d’y retourner immédiatement. J’aurais également aimé une meilleure production au niveau de la batterie, celle-ci me semblait la plupart du temps un peu trop en arrière-plan mais il s’agit ici d’une simple question de goût. Hormis ce petit travers, il s’agit d’un produit de très bonne qualité de la part du suédois avec un tout petit manque d’originalité.

    1. Birth (3:45)
    2. The Tower (3:25
    3. Guardian (3:49)
    4. The Wait Is Over (3:26)
    5. Destroyer of Worlds (3:38)
    6. Every Drop of My Blood (3:58)
    7. Sunrise (3:29)
    8. A Home Forgotten (3:30)
    9. Nation of Man (3:42)
    10. Wander On (3:39)

PISTES / TRACKS

musiciens / musicians

Andreas Stoltz : Everything

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