Cet album est paru l'an dernier le 6 mai 2022 exactement mais uniquement en version digitale d'où l'idée de rendre hommage à Aggie FROST la pionnière norvégienne de l'électro-pop (évidemment ce n'est pas du vrai prog mais la plupart des mélodies pourraient être issues de formations bien plus progressives);

Sur "Perlemor" (Mother of Pearl) tout est histoire de femmes bénies par la chance qui se perdent dans des exigences trop strictes envers elles-mêmes. Combinant le perfectionnisme et la sur analyse, l'âge aidant, le reniement et le rêve deviennent de plus en plus forts. Je ne me ferais pas le traducteur des paroles de l'album, car il est écrit dans la langue natale de Aggie FROST, le norvégien.

Du coté des influences avouées ou non et plus exactement des similitudes, nous pouvons citer le premier album de DEPECHE MODE ("Stille" le cinquième morceau et "Tidlos" le neuvième), les premières compositions de THE HUMAN LEAGUE comme la troisième pièce "Bolge" et la sixième "Nattebyen", ou bien encore la profondeur et la noirceur de THE COCTEAU TWINS (le second titre "Tentakler").

Prendre ce disque comme il vient, une bouffée de fraicheur qui s'écoute parfaitement en fond sonore un frisquet après-midi de printemps.