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CHRONIQUE / REVIEW

Tollheit

Piper's Honey

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Releases information

Release date:

November 7, 2025

Format:

Digital

Label:

From:

Awaysys Records

USA

Philippe André - December 2025

8,7

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TRANSLATED REVIEW (GOOGLE TRANSLATE) BELOW FRENCH TEXT !

Dans la langue de GOETHE, TOLLHEIT signifie ’’Folie’’ ; c'est le nom choisi par Robert DOUCETTE de PHOENIX en ARIZONA pour exporter et faire connaitre sa musique. "Piper's Honey" est son neuvième album depuis le début des années 2020. Robert était plutôt en avance puisqu'il compose de la musique depuis l’âge de 13 ans, a commencé la guitare à 15 ans et le piano à 19, le tout après avoir exploré la collection de Cds de son paternel.

Les grincheux et je peux les comprendre diront que des voix générées par une IA n'apportent pas une note positive à l'œuvre......problème cela risque de devenir monnaie courante dans les prochaines années.

Le premier enregistrement date de 2003 et cinq démos ont suivi. Après une longue pause musicale, Robert DOUCETTE a installé son propre studio d'enregistrement et il a commencé à travailler sur son premier album officiel qui a vu le jour en 2020. Six années plus tard le voici avec "Piper's Honey", autant vous dire que je n'ai écouté que des bribes des huit précédents disques avant de m'atteler à la chronique de celui-ci.

TOLLHEIT est à ranger dans le rock progressif d'obédience symphonique augmenté d'une grande mélodicité, un album d'écoute aisée, qui vous entre dans les neurones dès le début. La jaquette fait penser au "Joueur de Flute de Hamelin", nous restons donc en ALLEMAGNE. Le second titre "Follow the Piper" instrumental est fortement réminiscent du super clochard, inondé de saxophone, le titre le plus court mais aussi mon préféré (10/10).

La pièce la plus étendue "Sunset Reverie" forte de ses vingt et une minutes quarante-six prend quant à elle dans sa première moitié , une coloration prononcée genesisienne (sans la voix de Peter bien sûr) qui aurait frayée avec le BJH le plus symphonique, celui de "Everyone Is Everybody Else" ou d"Octoberon" y compris dans les intonations vocales de Robert (9/10), la seconde en grande partie instrumentale s'éloigne des deux précédemment cités pour du symphonisme haut en couleurs et en lyrisme, plus camélien ou eloyien pour rester avec les maitres des seventies, quoiqu'il en soit une musique qui s'écoule toute seule, un ami m'a soufflé une similitude avec Jacob ROBERGE ce qui n'est pas tout à fait faux.

Le titre que j'ai le moins apprécié "A Grandchild Roach" plus passe partout que le reste, agréable et écoutable sans excès (8/10), ce qui ne veut pas dire mauvais pour autant, juste inférieur aux trois autres pièces. Terminons par le commencement avec le Nectar des Dieux (9/10) qui m'a charmé dès la première écoute et sans lequel je ne serai probablement pas allé plus loin avec Robert DOUCETTE ; un peu avant la quatrième minute un rythme de fausse valse sur lequel s’enchaine un saxophone brillant et évanescent puis déjanté et skaique (MADNESS ou THE SPECIALS) ensuite, le tout fait son effet, genre dans le crane pour toujours, et le garçon chante bien voire même très bien ce qui ne gâche rien.

Encore une très bonne surprise pour ce dernier bimestre 2025, encore un candidat plus que potentiel à un top 10 annuel.

PISTES / TRACKS

    1. Nectar of the Gods (16:28)
    2. Follow the Piper (5:48)
    3. Sunset Reverie (21:48)
    4. A Grandchild Roach (8:10)

musiciens / musicians

Robert DOUCETTE: All instruments and vocals

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