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CHRONIQUE / REVIEW

The Lab Experience

The Lab Experience

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Releases information

Release date:

January 29, 2025

Format:

CD, Digital

Label:

From:

Oskar Records

Brésil / Brazil

Alain Bourguignon - June 2025

8,6

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TRANSLATED REVIEW (GOOGLE TRANSLATE) BELOW FRENCH TEXT !

Une gageure : produire du Métal Progressif SANS guitare ! C’est le pari un peu fou qu’à oser Luiz ALVIM, fou de synthés, bien entendu. Il s’agit d’un projet tout récent qui s’est mis en place à Rio de Janeiro (devinez où). Déjà expérimenté en musique instrumentale et Fusion, Luiz a écrit des pièces qui donnent aux touches noires et blanches un plus grande importance.
La première expérience publiée, par exemple chez Youtube, est une version au piano de ‘The dance Of Eternity’ de DREAM THEATER.


« Je suis très satisfait de cet album. J'ai choisi de ne pas utiliser de guitares et de me concentrer sur les claviers, mon instrument principal, pour explorer de nouvelles possibilités et créer quelque chose de différent dans le métal progressif. De plus, j'ai invité des invités spéciaux pour chaque morceau, faisant appel à des musiciens talentueux pour apporter leurs interprétations et enrichir le résultat final ». Luiz ALVIM


L'album comprend des morceaux originaux ainsi qu'une réinterprétation, Alvim jouant de la basse sur plusieurs chansons et comptant sur la participation d'invités spéciaux. Le morceau « A Long Time Ago » a été développé pendant la pandémie et inclut les contributions du bassiste Paulo GUSTAVO et du batteur norvégien Arild BRØTER. Sur « M.A.R.I.K. », Rafael MARCOLINO est à la batterie tandis qu'Alvim joue également de la basse. « Parallel Dimensions » présente une nouvelle interprétation d'une ancienne œuvre de SLEEPWALKER SUN, avec Jorge MATHIAS à la basse et Rodrigo MARTINHO à la batterie. « The Mind », l'unique reprise de l'album, adapte une chanson de SEQUAZ, un groupe dirigé par le batteur Alex CURI, qui apparaît également sur le morceau. « Astral Zenith » mélange des éléments de rock classique avec Enrico ROSSETTI à la batterie et Alvim à la basse. L'album se termine par « The End », une ballade introspective qui équilibre mélodie et puissance pour conclure le disque.


Le résultat est un album qui bouscule les conventions tout en conservant la profondeur et la complexité recherchées par les fans de musique progressive. L'album se compose d'un mélange de compositions originales et de réinterprétations d'œuvres précédentes, enrichies par les contributions de divers musiciens invités.


Le trio de tête ; « A Long Time Ago », « M.A.R.I.K. » et « Parallel Dimensions », reposent sur des rythmes mid-tempo plutôt trépidants, avec des flots torrentueux de synthétisés éblouissants sur les notes d’un orgue Hammond tournoyants. Le tout est boosté par section rythmique (basse, batterie) puissante et dynamique. Bien entendu, ces plages sont bien différentes et optent pour des lignes mélodiques bien distinctes. Les interactions entre les nombreux claviers et la section rythmique apportent beaucoup de texture. Ralentissement avec les quelques notes de touches N/B qui lancent « The Mind », une composition plus audacieuse, davantage écartelée entre les trames diverses, avec un bref chorus de basse et de batterie (qui, toutes deux sont très présentes) des cordes de Mellotron, et un vrai solo de basse qui calme les ardeurs. C’est l’une des pièces principales de l’album.


« Future Dreaminess » ne vole pas son titre avec son entrée en matière cosmique et inquiétante. Break, accélération fulgurante avant d’atteindre une vitesse de croisière plus confortable matérialisée par diverses variations planantes. Les 4 cordes, aidée en cela par les fûts frappés très nettement, engagent une seconde partie emballante avec orgue Hammond, claviers versatiles et emportement sur des métriques complexes. Passionnant. La majesté de l’intro de « Astral Zenith » laisse augurer quelque chose d’imposant, d’épique. Impression confirmée; la succession de trames mouvantes, d’effets de cordes et de flûte (Mellotron), de solo enflammé à l’orgue Hammond (avec cabine Leslie) ou au minimoog, les inclusions au piano et la souplesse de la section rythmique laisse pantois. C’est puissamment composé, à la fois lyrique et technique, empli à ras-bord d’idées superbement agencées, en un mot: virtuose. « The End » ne pouvait, après un tel festival, qu’être plus mesuré, presque dépouillé. Le grand piano brode presque seul la douce mélodie, soutenu tout en légèreté par quelques cordes au Mellotron, quelques notes de basse en soutien et, sans doute, un fifrelin d’orgue Hammond en tapisserie d’église. Bref, un album à découvrir !!

PISTES / TRACKS

    1. A Long Time Ago (4:22)
    2. M.A.R.I.K. (4:50)
    3. Parallel Dimensions (7:31)
    4. The Mind (6:22)
    5. Future Dreaminess (7:31)
    6. Astral Zenith (10:20)
    7. The End (3:37)

    Total Time 44:33

musiciens / musicians

Luiz Alvim / Keyboards, bass (2,6,7)

With:
Paulo Gustavo / Bass (1)
Arild Brøter / Drums (1)
Rafael Marcolino / Drums (2)
Jorge Mathias / Bass (3,4)
Rodrigo Martinho / Drums (3,5)
Alex Curi / Drums (4)
Francisco Falcon / Bass (5)
Enrico Rossetti / Drums (6)

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