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CHRONIQUE / REVIEW

Superthousand

Four

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Releases information

Release date:

September 26, 2025

Format:

CD, Digital, Vinyl

Label:

From:

Self-Released

Allemagne / Germany

Philippe André - December 2025

8,8

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TRANSLATED REVIEW (GOOGLE TRANSLATE) BELOW FRENCH TEXT !

Je vais être honnête et transparent, je n'avais jamais entendu parler de ces gugusses avant de demander à rédiger la chronique de leur nouvel album.

SUPERTHOUSAND joue du rock progressif depuis 2012, ils étaient quatre, ils ne sont plus désormais que trois, le second guitariste étant parti après le troisième disque paru en 2021 ; leurs premières maquettes et leur premier album n'étaient pas vraiment progressifs mais plutôt folk/indie.

La récente mouture de la formation fait que le claviériste Lars DREIER s'occupe également de la guitare basse et que le chanteur Dominik MERTENS tient la six cordes en plus d'être responsable de la conception graphique et du logo de SUPERTHOUSAND, des éléments proches d'un minimalisme auquel on ne s'attend pas forcément eu égard à la musique développée par nos cousins germains.

Quarante-quatre petites minutes pour cette galette et c'est très bien ainsi pour se concentrer efficacement sur la musique. Comme le savent celles et ceux qui me lisent, je hais les œuvres supérieures à l'heure, impossible de mémoriser au-delà, le cerveau humain a ses limites.

De qui rapprocher SUPERTHOUSAND ? Du FLOYD inévitablement par ci par là et pour demeurer au pays de GOETHE, je citerais volontiers les deux combos initiés au fil du temps par Markus STEFFEN et Arno MENSES, soit SIEGES EVEN et SUBSIGNAL, le second ayant choisi début 2025 de créer son propre groupe le ARNO MENSES BAND (pas très original mais bon). Les guitares sont brillantes, lyriques et toujours au bon endroit au bon moment (l'expérience des musiciens n'y étant probablement pas étrangère), quelques cavalcades épiques comme la première plage "Seven".

La plage éponyme "Four" nous renvoie vers un RPWL survitaminé (on croirait entendre Yogi LANG chanter) ou encore une fois SUBSIGNAL, plaisante, aisée d'écoute, une plage que l'on remet écoute après écoute, une fin trop abrupte comme je l'écris fréquemment. A mettre en parallèle ou plutôt en opposition avec la suivante "Kipppunkt", bien plus calme, menée par une batterie inventive et à contretemps sur des claviers en parfaite osmose, le chant n'est pas au top (un peu rocailleux) mais ça passe quand même, la six cordes n'est présente qu'à partir de la sixième minute et plus aventureuse que précédemment. Le dernier morceau "End" porte bien son nom, juste un clavier/voix jusqu'à 1:51, il s'emballe ensuite avec une montée mélodique on ne peut plus progressive, parsemée de voix off, encore une très forte inspiration RPWL, je pense que beaucoup se ferait avoir lors d'un "blind test", pas le morceau de l'année mais s'écoute très facilement.

Encore un candidat pour mon top 15 de l'année.

PISTES / TRACKS

    1. Seven (10:08)
    2. Gift (8:02)
    3. Stellar Dust (3:01)
    4. Four (6:38)
    5. Kipppunkt (9:01)
    6. End (7:09)

musiciens / musicians

Markus MISSBRANDT: Drums
Dominik MERTENS: Vocals, guitars
Lars DREIER: Keyboards, bass guitar

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