top of page

CHRONIQUE / REVIEW

Skinner Project

To Earth, With Love

AGHORA.jpg

Releases information

Release date:

July 4, 2025

Format:

Digital

Label:

From:

Self-Released

Brésil / Brazil

Alain Massard - September 2025

8,4

Facebook_logo-7.png
Google translation options below french text

TRANSLATED REVIEW (GOOGLE TRANSLATE) BELOW FRENCH TEXT !

SKINNER PROJECT groupe créé en 2017, sortant son 4e album comme accomplissement de sa carrière pour un voyage spatial sur les terres de BOF telles ‘ Interstellar’ et ‘Astra’. Un son introspectif, mélancolique flirtant surtout avec RUSH, la notion de la S-F en prime avec le problème de la solitude et de la transformation. Du rock prog métal électro-futuriste avec une touche alternative et des sons avec des réminiscences de FROST*, DEPECHE MODE, CROWN LANDS et VOYAGER.

« To The Stars » pour l’attaque franche, rock teigneux légèrement ambiant, le riff accrocheur avec des intonations planantes, la voix caractéristique de Leo. Le break électrique, électronique, moderne; le refrain entêtant sur le clavier gras; la déclinaison peut rappeler YES de la décennie 2020, nerveux et structuré avec un zeste jazzy électro-groovy du clavier. « To Earth, With Love » pour le morceau éponyme pensé et imaginé comme son de RUSH, au coulé d’ENCHANT, de belles références. La ballade spleen, flottant entre le clavier aérien pour une mélancolie spatiale intimiste à la barrière du post-rock symphonique. « No Answer » avec le relent introduction sur ‘Dogs’; après c’est fusion RUSH et ENCHANT je persiste, un zeste d’ASIA sans la voix. C’est bon du fait de la fraîcheur relative du son des 90; les claviers de Ranieri et Léo se battent en duel, le riff revient plus agressif, le break sur un DEPECHE MODE heavy, le vocal et la batterie à la Peart de RUSH, un son innovant qui fait plaisir. « Report#28 » à l’intro spatiale, bis repetita, fermeture des portes; un ‘spoken word’ plaqué à la basse énergique de Léo, le maître à penser du groupe. L’instrumental rushien dans sa tessiture avec riffs synthés électro et Leo explosant ses peaux sur le morceau majeur.

« The Devil's Fault » entame synthé new-wave arabisante, coup de bluff; un condensé de DEPECHE MODE et LACRIMOSA avec du clavier dansant, celui de TALK TALK ou DURAN DURAN boosté par celui des bandes série des 80. Un bon moment régressif avec le synthé vibrant, la déclinaison ambiante, spatiale, robotique donnant un nouveau coup de pied au rock prog. « A Dream of Us » pour la ballade pop rock électro en mid tempo, lente mélodie flirtant jusqu’à A-HA avec la voix haute sur MEAT LOAF, sidérant. Le plus ce refrain accrocheur et la déclinaison progressiste, électro-spatiale avec un solo éclairé de Gui. Les percussions électroniques et le clavier accompagnant idéalement Léo sur ce morceau nostalgique AOR. « Disconnected » au morceau consensuel continuant sur la même ligne musicale; le plus cette déclinaison progressiste entre le clavier de Ranieri et la guitare de Gui pour l’air djent alternatif spatial. Des cris et du rythme entraînant pour ce morceau composé en s’inspirant de la BOF de ‘Last of Us’. Outro planante, latente à base de claviers veloutés. « Speaking In Silence » avec Gui au vocal spleen, ne parvenant pas à la hauteur de Léo; un essai singulier avec la basse prégnante et un solo de lui-même plus marqué, dépressif et avenant me rappelant ceux de Douglas d’ENCHANT. « Eternity » intro synthé électrique spatiale réverbérante; un rythme lancinant syncopé qui tourne en rond ici alors que j’attendais mieux du plus long titre. Une facilité métronomique et un trop court solo sur une voix-off; un manque d’élan avec le break qui sauve la mise avec cette montée heavy sourde lançant le second solo guitare. L’outro acoustique à la OCEANSIZE, spleen pour le retour du refrain redondant.

SKINNER PROJECT sort cet opus de rock alternatif progressiste moderne avec une base rythmique électronique, spatiale et lancinante. La basse et les synthés sont en avant. Un conglomérat entre RUSH et VOYAGER, TOTO et ETERNITY X, DEPECHE MODE et le toujours jeune WILSON. Un univers franchement tourné sur la S-F avec de beaux morceaux instrumentaux qui aident à voyager encore plus loin. Du pop rock frais, spatial lorgnant sur le métal prog par instants avec les riffs guitare mais restant dans la zone de confort du prog métal futuriste. Si RUSH avait continué d’exister en proposant des titres mélodiques envahis de breaks suintant le sang prog à vue de nez on serait là! Un album facile d’accès aux sonorités modernes et à l’ambiance musicale nostalgique des 80, on avance!

PISTES / TRACKS

    1. To The Stars (07:42)
    2. To Earth, With Love (04:12)
    3. No Answer (05:56)
    4. Report #28 (05:01)
    5. The Devil's Fault (05:03)
    6. A Dream of Us (05:06)
    7. Disconnected (07:24)
    8. Speaking In Silence (03:46)
    9. Eternity (08:08)

    Total: 52’18’’

musiciens / musicians

Léo Skinner: Chant, basse, synthés, programmations
Léo Nascimento: Batteries acoustique et électroniques
Gui Beltrame: Guitares acoustique et électrique, chant
Ranieri Benvenuto: Rhodes et synthés

FOLLOW US

  • YouTube Social  Icon
  • Facebook Classic

CONTACT US

CRÉÉ ET MAINTENU PAR PROFIL 1994 to 2025

bottom of page