top of page

CHRONIQUE / REVIEW

A-J Charron

Preying Gods

AGHORA.jpg

Releases information

Release date:

January 12, 2024

Format:

CD, Digital

Label:

From:

Self-Released

Canada

Alain Massard - February 2024

7,3

Facebook_logo-7.png
Google translation options below french text

TRANSLATED REVIEW (GOOGLE TRANSLATE) BELOW FRENCH TEXT !

A.J CHARRON a été ballotté durant son enfance de pays en pays, ses parents se posant au Canada après avoir vécus en France, voilà ce que je peux vous dire. Un second album après plus d’une décennie faisant écho au premier et se déroulant dans le même univers avec une harpie luttant contre sa transformation et une bribe d’histoire de jalousie entre Zeus et Héra rien que ça; un son sur une composition classique avec instrumentation basique.

« Prélude 1 » arpège guitare et percussions sur un ensemble clavier pour une ‘’entré-dessert’’, ou un entremet gouleyant. « Love Prevails » sonorité dark age en avant, ambiance monolithique intimiste; percussions solennelles avec un clavier cristallin amenant un air moyenâgeux, sombre et grandiloquent, un peu sur les DEAD CAN DANCE du départ; fin brutale. « Dreaming Awake » air sombre, glauque, sinistre, voilà; lente digression. « Beauty Above » sur la même veine, plus de dynamisme, pour aller retrouver son amante, un son indien et un phrasé mantra donnant dans le solennel. « The March » pour le titre de l’album : lorsque le solennel rencontre le pompeux ou la marche guerrière avec orchestration médiévale et dark age; un son avec un mitraillage des percussions et une montée entraînante due à la grosse caisse et au clavier à la LACRIMOSA pour le final ‘’apocalyptiquement’’ solennel, oui on parle de dieux ici. « Head On » déboule avec une guitare et des synthés électro-new-wave sur un DEPECHE MODE basique ou un INDOCHINE tel quel; la batterie rythme le morceau un temps avant de donner le tempo pour des nappes saccadées de notes guillerettes. « Almost Confrontation » pour la confrontation des Dieux, avec un son de basse dark wave envahissant, allez sur THE CURE du départ, sombre et sinistre; des chœurs, une ambiance abyssale pour une lutte de titans, non de Dieux, je comprends mieux mon insistance à écrire solennel; les claviers aigus donnent un peu de lumière à ce morceau; c’est avec le final et la voix d’A.J posée que l’on peut reprendre espoir. « Last Embrace » pour ce final extrême avec la chute de l’amante sur son compagnon et une mort horrible, pour être réunifiés après la mort; le second titre le plus expressif musicalement avec cette guitare torturée.

A.J CHARRON a donc composé cet épisode néo-classique sur la mythologie grecque et ses turpitudes; un voyage de douleur et de désespoir d’une amante transformée en harpie, un moment sympho-gothique avec instrumentation basique qui pouvait passer il y a 10 ans et qui commence à dater aujourd’hui; une ode à l’amour triste et… solennelle, à ne pas écouter un soir sombre.

PISTES / TRACKS

    1. Prélude 1(1:34)
    2. Love Prevails (7:16)
    3. Dreaming Awake (4:20)
    4. Beauty Above (5:51)
    5. The March (05:25)
    6. Head On (5:38)
    7. Almost Confrontation (6:31)
    8. Last Embrace (6:45)
    Total:43’20’’

musiciens / musicians

A.J Charron : Guitares, batterie, percussions, basse, vocal

bottom of page