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CHRONIQUE / REVIEW

Tim Bowness

Late Night Laments

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Releases information

Release date:

August 28, 2020

Format:

CD, Digital, Vinyl

Label:

From:

Burning Shed / Inside Out

Royaume-Uni / UK

Marc Thibeault - September 2020

9,0

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TRANSLATED REVIEW (GOOGLE TRANSLATE) BELOW FRENCH TEXT !

Voici le sixième album solo du Crooner-Prog anglais Tim BOWNESS, septième si vous incluez l'album “Songs From The Ghost Light” (2017) qui est plus un compagnon de route des trois albums parus avant (“Abandoned Dance Hall Dreams”, “Stupid Things That Mean The World” & “Lost In The Ghost Light”). Tim est encore une fois assisté aux instruments par Brian HULSE et, sachant toujours s'entourer d'artistes invités chevronnés, le résultat final de l'enregistrement de cet album mixé par Steven WILSON devrait combler les attentes de ses fidèles auditeurs.

L'album débute en douceur avec la pièce “Northern Rain”: M. BOWNESS y chante à propos d'un amour éteint sur un ton nostalgique et sur un rythme lent avec les claviers qui crée un effet éthéré en arrière-plan. Ce style musical sied à merveille avec la voix du chanteur qui excelle à nous faire ressentir la tristesse ou mélancolie voulue. “I'm Better Now” suit dans la même veine, mais nous parle plus de la récupération suite à une rupture. Il faut croire que Tim BOWNESS y voit une source inépuisable pour s'inspirer! Toujours est-il que cette pièce est un peu plus rythmée, avec un beat électronique et une guitare plus imposante que sur la pièce précédente. “Darkline” pourrait jouer à la radio avec son style un peu plus 'mainstream'. On voit tout de suite la différence sonore aux claviers lorsque c'est Richard BARBIERI qui joue: un peu moins classique, plus expérimental et avec une légère touche psychédélique. Ça rehausse tout de suite la qualité sonore de la pièce (je n'enlève ici rien au talent de Brian HULSE qui est plus du côté de la musique classique). La pièce pleine d'espoir, “We Caught The Light”, a des airs qui font penser à quelques jolies pièces de Steven WILSON et on dirait que Tim chante à son meilleur sur ce genre musical avec sa voix un peu éthérée et passionnée à la fois. L'ajout de 'back-vocals' rajoute de la couleur à ce petit morceau de bonheur.

La pièce “The Hitman Who Missed” est particulière lorsqu'on écoute la musique et que l'on comprend les paroles: le sujet en est un d'un enfant qui est le dur à cuir de l'école et qui perd la face après avoir manqué son coup. Je n'avais pas pensé que ce genre de sujet pouvait se raconter sur une telle musique. Disons que ça fait un peu étrange. “Never A Place” parle du rejet et de la marginalisation d'une personne par la société. La musique jouée ici accentue les textes, créant une ambiance un peu fataliste où on a l'impression que l'on doit se faire à l'idée que c'est normal d'être catalogué ainsi. L'ironie et l'humour noir sont toujours un peu présents dans les paroles du chanteur. “The Last Getaway” est le genre de pièce que l'on écoute en roulant tranquillement sur des routes dans la forêt ou au bord de la mer. Encore ici, on entend la présence de Richard BARBIERI aux claviers qui rajoute une touche d'énergie supplémentaire à la pièce. Les paroles sont toujours aux antipodes avec la musique, mais c'est ce qui fait le charme des pièces! La pièce “Hidden Life” est un peu plus noire musicalement et les paroles ici s'agencent mieux à l'atmosphère créée. “One Last Call” est une pièce très éthérée, presque une lamentation sur un fond de musique soul électronique. Très triste et mélancolique!

Il y a un CD supplémentaire inclus lorsque vous achetez l'album en format CD. Cinq pièces s'y trouvent: 4 qui sont issues des sessions d'enregistrement de cet album et l'autre est une pièce mise de côté lors de l'enregistrement de l'album “Flowers At The Scene” et dont y participent Peter HAMMILL et Adam HOLZMAN (Miles DAVIS/Steven WILSON).

C'est un album à la hauteur des attentes, mais sans fioritures ou nouveautés sonores et l'emballage sonore est toujours à point (gracieuseté de Steven WILSON). Ceux qui aiment ce que Tim BOWNESS fait vont en avoir pour leur argent et leurs oreilles. Bonne écoute!

    01. Northern Rain (04:49)
    02. I'm Better Now (03:51)
    03. Darkline (03:57)
    04. We Caught The Light (03:56)
    05. The Hitman Who Missed (03:23)
    06. Never A Place (04:41)
    07. The Last Getaway (04:55)
    08. Hidden Life (05:05)
    09. One Last Call (04:14)

PISTES / TRACKS

musiciens / musicians

Tim BOWNESS - Vocals / backing vocals / synths (2, 9) / samples (2, 9) / ukuleles (4) / fx (2, 6)
Brian HULSE - Synths / keyboards / guitars / programmed drums / backing vocals (4)
With:
Tom ATHERTON - Vibraphone (1, 4, 5, 6, 9)
Richard BARBIERI - Synths and synth solos (3, 7)
Evan CARSON - Drums and percussion (1, 4)
Colin EDWIN - Double bass (4, 5, 9)
Alistair MURPHY - Dianatron (5)
Kavus TORABI - Glissando guitar and guitar solo (2) / backing vocals (4)
Melanie WOODS - Backing vocals (1, 2, 4)

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