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CHRONIQUE / REVIEW

Røsenkreütz

Divide et Impera

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Releases information

Release date:

March 21, 2020

Format:

CD, Digital

Label:

From:

Opal Arts / Andromeda Relix

Italie / Italy

Francois Bérubé - May 2020

8,5

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TRANSLATED REVIEW (GOOGLE TRANSLATE) BELOW FRENCH TEXT !

Après un excellent premier album sorti en 2014, le groupe italien Røsenkreütz nous revient en force! Il s’agit d’un album « conceptuel » sur le thème du contrôle, le titre de l’album « Divide et Impera » veut justement dire : « Diviser et régner ». Chacune des huit pièces apporte un éclairage différent sur ce thème. J’ai découvert un excellent groupe que je ne connaissais pas. Un groupe énergique, talentueux à souhait, des musiciens expérimentés, un chanteur rempli d’émotions.

J’avoue que les premières secondes de la première pièce « Freefall », le son du clavier un peu années 80 ne m’a pas conquis au début mais la pièce se transforme rapidement et cela devient très intéressant. La deuxième pièce « Imaginary Friend » commence de façon très punchée, cela me fait penser un peu à « The Great Deceiver » de King Crimson. Je ne sais pas trop pourquoi car ces deux pièces sont très différentes, mais c’est peut-être à cause du violon et du riff rythmé et accrocheur. La guitare lancinante poursuit et le riff puissant reprend. Ensuite, un piano rythmique et la voix me font un peu penser à du Queen. J’aime trop le riff qui revient sans cesse, c’est puissant! Les harmonies vocales aussi sont très « Queenesques » si je puis dire! C’est probablement une de mes pièces préférées de l’album, on en a plein la figure quoi!

L’album redescend avec « The Candle in the Glass », tout en douceur, une belle balade qui nous permet de reprendre notre souffle. « I know I know » a un petit côté Rush. Un petit rap en plein milieu très surprenant, surtout qu’il est suivi par un cri et un excellent passage musclé trop court. « Aurelia » est une autre très belle ballade, pleine d’émotions, vraiment très touchante. On ne peut rester indifférent à la beauté de cette chanson. On pense un peu à Marillion (période HOGARTH), une belle guitare acoustique, la voix du chanteur est magnifique, très lyrique. « True Lies » continue, une chanson qui sonne un peu plus pop-rock avec un refrain accrocheur. La belle guitare acoustique de « Sorry and » vient bercer nos oreilles dans une mélodie qui me fait penser aux ballades de Riverside. Pause avant la pièce de résistance de l’album, « The Collector », puissant morceau de quinze minutes. Une introduction explosive… on en a plein les oreilles! Excellent! Du prog à son meilleur!... avec plein de changements de rythmes et d’atmosphères comme on l’aime!

L’album est bien construit. Cinq pièces plus rythmées, alternées avec trois pièces plus douces. Une œuvre de qualité, mais peut-être un peu moins audacieuse que leur premier album. J’aime bien la présence discrète du violon alto et des cordes qui rajoute parfois une petite touche particulière. Amateurs de néo-prog et des groupes mentionnés plus haut… un groupe talentueux à découvrir!

    1. Freefall (7:54)
    2. Imaginary Friend (6:21)
    3. The Candle in the Glass (7:07)
    4. I Know I Know (6:28)
    5. Aurelia (8:07)
    6. True Lies (5:44)
    7. Sorry And (7:01)
    8. The Collector (15:33)

PISTES / TRACKS

musiciens / musicians

Fabio Serra - Guitars, keyboards, vocals
Gianni Brunelli - Drums, percussions
Gianni Sabbioni - Bass, Chapman stick
Massimo Piubelli - Lead vocals
Carlo Soliman - Piano, keyboards
Eva Impellizzeri - Viola, additional keyboards, vocals

With
Evequartett - Strings
Daniela Pase - Additional backing vocals
Flamma - Vocals

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